« EN PASSANT PAR LA ROCHELLE »
Dans les temps les plus anciens, on prétendait que ma terre était inhospitalière, couverte de marais, balayée par le vent et que jamais âme qui vive ne pouvait s’y établir, on a même dit que cette région laissée à l’écart de la civilisation ne pouvait être habitée que par une population indigène, misérable et inoffensive qui vivait obscurément de la pêche sur les plages de l’océan et au bord des marécages.
Hors un soir d’orage, devant mes yeux un éclair tomba sur une petite roche appelée « RUPELLA ».
Ce jour là, une mission me fût confiée : raconter et prouver à la face du monde que ma cité était une des plus accueillante qui soit et que tous les étrangers étaient les bienvenus « grands coureurs, aventuriers de toutes sortes, touristes en goguette, manants et bourgeois ».
Je m’appelle JEAN DE LA ROCHELLE et je vous souhaite la bienvenue dans ma noble cité.